Pour la seconde partie du voyage, j’ai eu beaucoup de chance. Tout d’abord j’ai eu peur un moment parce qu’il y avait un groupe de 30 enfants d’âge moyen de 7 ans, qui prenait le même vol pour aller faire du ski dans nos contrées. Je me suis dit qu’avec le bol que j’ai, je vais me retrouver avec toute la compagnie autour de moi.

Finalement pas. L’avion était un A330 et nous n’étions que 50-60 personnes dans la cabine, partie voyageurs économiques :laughing: Du coup, les gens se mettaient comme ils voulaient et où ils voulaient. C’était bien cool d’avoir de la place à côté de soi :laughing:

Le voyage en lui-même a duré dans les 6h00 et s’est bien passé. Nous avons survolé la Turquie, Serbie, Bosnie, Italie et Suisse (entre autres) et aussi la Bulgarie. D’ailleurs, depuis la Bulgarie, le paysage a viré au blanc complet. C’était assez chouette de voir ça d’en haut, et je me disais aussi qu’il va bien faire froid à la sortie de l’avion. J’avais pas tort du tout de penser ça :laughing:

A mon arrivée à Genève, Sandrine et ma mère m’attendaient à la sortie de la récupération des bagages. Il a fallu 15 petites minutes à ma valise pour se retrouver dans mes mains. Je suis sorti rejoindre mes proches, mais sans faire attention que d’autres proches se cachaient dans la foule (les vils coquins :smiling_imp:). Sandrine me sort : “Tu as vu qui y a ?” et moi j’ai dit : “Oui, y a maman”. Mais en fait, mon frère, son épouse et sa belle-mère étaient aussi de la partie. C’était bien sympathique. On a été manger une petite morse (un tit sandwich pour la route :laughing:) et nous sommes partis prendre le train. Ça faisait tout bizarre de revoir le paysage suisse.

Après 36 heures de voyage et sans réellement dormir, j’étais bien content d’arriver à la maison et de pouvoir me reposer un peu. Après mon arrivée, le déballage de mes affaires à débuté et la distribution des souvenirs également :laughing: mais ceci est une autre histoire qui viendra bientôt. Il me reste encore quelques récits à écrire, comme ma dégustation du boeuf de Kobe, ou ma dernière virée le long de la Kamo River.