Je commence à prendre mon rythme de croisière. Aujourd’hui je suis allé à l’uni et j’ai trouvé la bonne porte pour entrer dans le bâtiment. Oui, c’est toujours un peu une période fériée, où les administrations bossent pas.

Et oui, comme je vous le disais dans un article précédent, aujourd’hui est le point culminant de la période Obon. Et c’est aujourd’hui qu’à Kyoto, les montagnes brûlent.

Comme l’indique le titre, ou presque, aujourd’hui je suis allé à la préfecture pour me faire enregistrer en tant qu’étranger, résidant plus de trois mois.

Je voulais vous faire part de quelques-unes de mes difficultés. Comme vous le savez, je ne maitrise pas du tout la langue et la lecture de celle-ci, encore moins. Par conséquent, il m’est très difficile de savoir quoi faire en présence de certains objets.

Une fois n’est pas coutume, ni photo, ni bentô, ni visite mais une petite leçon de géographie qui va vous permettre de repérer un petit peu les endroits où je vis, je travaille, je visite.

Lorsque je suis rentré ce soir, il s’est mis à pleuvoir. Je n’avais pas de parapluie bien entendu et je suis vite aller en acheter un dans le magasin de l’uni. Bien m’en a pris car il est tombé des cordes.

Une fois n’est pas coutume, ni photo ni vidéo. Cette fois je vais vous laisser découvrir un son qui m’a bien surpris la première fois que je l’ai entendu .

Comme qui dirait, faut bien faire sa lessive de temps en temps. Normalement c’est quelque chose qui est facile à faire (un peu chiant) et qui est à la portée de tous. Mais ajoutez la difficulté de la langue que vous ne comprenez pas et que vous ne pouvez lire et ça vous donne une sacrée aventure.